Grand merci aux Amis de Lucie, pour ces moments tragicomiques, au son fluvial qui inspire/expire l’espièglerie et la poésie décalées – des têtards, Olive Oil, des souris en pot, des plans à 3, la pêche à la sirène, l’Olé, des cuit-cuits, des lecteurs de photo-roman et toutes leurs histoires de porridge perdus sur l’Everest… arrivés au bord de la mare des Arceaux dans une péniche imagée et sonore, reparti les yeux, les oreilles et le ventre pleins.
C’est bien agréable de savoir qu’ici on fait encore ce qu’on veut comme on veut – dans un espace temps dont la seule limite est celle qu’on s’impose à soi-même.
Au plaisir de vous recroiser l’esprit ouvert et les sens sens dessus-dessous, comme un dimanche à la papeterie.